You are hereDes lendemains qui chantent à "La Sapinière" Sortie le 20 août 2014

Des lendemains qui chantent à "La Sapinière" Sortie le 20 août 2014


En Mars 2013, tournage de quelques scènes du  long métrage "Des lendemains qui chantent" dans la propriété de Maman.

Voici quelques informations sur le tournage :

Avant première

Le 7/07/2014, grâce à Maman, nous avons bénéficié de places pour l'avant première qui a eu lieu à St Etienne car une bonne partie du film a été tournée là-bas.

Sont indiquées ci-dessous les durées à partir du début du film où l'on voit les scènes tournées à "La Sapinière" :

  • A 15 à 20 mn du début du film :

1° scène Dussolier accueille côté salle de TV  Laetia Casta et Pio Marmaï.

2° scène dans la cuisine

3° scène Dussolier dit au revoir depuis le hall d'entrée et donne les 101 propositions de Mitterand

  • A 1H25 de film: Dussolier dans la cuisine, filmé depuis la salle TV

AndreDussollier-LaetitaCasta-PioMarmai-la-sapiniere-mars2013

Lors du tournage à "La Sapinière"

Lors du jeu de questions/réponses entre acteurs et spectateurs a été demandé si un ancien de Manufrance était dans la salle. Cela a été le cas, le témoignage de ce spectateur a été enrichissant et il a dit reconnaître exactement ce qu'il avait, à l'époque,  vécu.

Véronique a été interviewé à la sortie de l'avant première par Radio France bleu. A la question "Qu'avez-vous pensé du film ?" Véronique a répondu : J'ai bien aimé pour 3 raisons :

1- Film comique et parfois émouvant, on ne voit pas le temps passer.

2- J'ai vécu certaines scènes, je suis de la "Génération Mitterand" car j'avais 20 ans au moment de l'avènement de Mitterand.

3- Certaines scènes ont été tournées dans la propriété de ma mère.

 

L'histoire

Ce film raconte l'histoire de quatre personnages joués par Pio Marmaï, André Dussolier (qui incarne un syndicaliste de Manufrance) et Gaspard Proust, que l'on suivra dans la période allant des années 80 à 90 avec pour trame les grands changements sociaux.

Olivier et Léon deux frères (G. Proust et P. Marmai fils dans le film de Dussolier), vont à Paris et la vie va les éloigner...

Si le premier se voit comme un journaliste sans concessions, le second est un communicant ambitieux et opportuniste. Noémie (L. Casta), une charmante conseillère présidentielle, n’arrive pas, au fil des ans, à choisir entre eux.

Sous le regard amusé de Sylvain (Ramzy, leur ami d’enfance, qui a fait fortune dans le minitel rose, leurs destins se croisent sur 20 ans, s’entremêlent, au cours d’une épopée drôle, tendre et nostalgique, dans les années 80/90.

Le titre reprend un passage de la lettre d'adieux du résistant communiste Gabriel Péri la veille de son exécution par les Allemands au Mont-Valérien en 1941 : " Je crois toujours en cette nuit que mon cher Paul Vaillant-Couturier avait raison de dire que le communisme est la jeunesse du monde et qu'il prépare des "lendemains qui chantent"

 

La bande annonce

A 1 minute et 23 secondes, dans le générique, chez Maman, on voit Dussolier, Casta et Marmaï  dans la Steet (salle TV) avec au fond la  fenêtre de la cuisine.

 

Critique

Note de la rédaction :

 http://toutelaculture.com/cinema/a-laffiche/des-lendemains-qui-chantent-un-casting-de-choc-pour-porter-le-deuil-de-mai-1981/

"Chronique assez réaliste d’un profond désenchantement, Des lendemains qui chantent saisit une réalité à la fois dense et dérangeante : celle d’une génération qui a trahi ses propres idéaux à grand renfort de superficialité, avec pour prétexte que « les temps ont changé ». Si visuellement ce premier long métrage reste assez marqué par le passé « télé » du réalisateur de Je hais les années 1980, la justesse souvent douloureuse du propos, l’humour vache et les comédiens formidables qui portent le film en font une vraie réussite. Pio Marmaï est instinctivement juste dans son personnage sympathique et mou, Proust est tout simplement génial en clone de en pubard cynique et en second rôle de père ouvrier perdu dans une nouvelle société sans classes, André Dussolier est absolument merveilleux. Une histoire bien proche à revivre dans les salles obscures."

 

Source Wikipedia

Les Lendemains qui chantent est une autobiographie de Gabriel Péri, ancien député communiste fusillé par les Allemands en 1941 au Mont-Valérien.

Son autobiographie, publiée posthume en 1947, contient sa célèbre lettre d'adieu, rédigée à la veille de son exécution. Ce sont les derniers mots qu'il écrit. Cette lettre comporte la phrase suivante : « Je crois toujours, cette nuit, que mon cher Paul Vaillant-Couturier avait raison de dire que le communisme est la jeunesse du monde et qu'il prépare des lendemains qui chantent », d'où le titre de l'œuvre.

 

 

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