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Témoignages famille et amis pour le Pat


Témoignages de la famille à l'église Saint Sébastien de Meyzieu

"Patrick, c'est ta mère qui vient te dire adieu, ta mère qui t'aime et qui t'aimera toujours car su seras toujours présent comme Murielle l'est.

Anne et Gabrielle sont là, et tu es, pour moi, parmi nous, à travers elles qui ont tant de chagrin, tant elles t'aiment.

Merci Patrick pour tout ce que tu nous as apporté à moi et à nous tous.

Merci Anne et Gabrielle pour le bonheur qu'elles ont apporté à Patrick.

Merci à tous ceux qui l'ont entouré et, en particulier, à ses frères et sœurs qui sont allés le voir et lui ont beaucoup téléphoné."

  • Les neveux et nièces :

Nicolas, Cyrille, Thibault lu par Nicolas

"Cher Pat,
Tu vas nous manquer. Pendant 5 ans, tu as lutté et pourtant pendant ces cinq ans, tu ne t'es jamais plaint. Très régulièrement, tu prenais de nos nouvelles et nous avons appris à nous connaître. Tu nous appelais tes neveux, tes amis... On se rappelle ce soir de Noël, où tout en parlant de choses personnelles, tu arrivais à nous faire rire. C'est à ces occasions là que tu nous disais à quel point Gabrielle était contente de jouer avec nous, même si elle triche au jeu de billes. On pense beaucoup à notre cousine, à Anne et à mamie; tes trois femmes. Ton rire, ton sourire, les films que tu regardais le soir à la sapinière, ton humour, tes expressions que nous utilisons dans la vie quotidienne...Tout cela va nous manquer. Il y avait les débats intellectuels que nous aimions tant: On te voyait comme un esprit grand, intelligent. Il y avait le partage de nos passions. Pour nous les sciences, pour toi le journalisme. Jusqu'à la fin de ta vie, tu lisais les journaux. Un peu comme Molière qui est mort sur scène, tu es parti en emportant avec toi ta vie: ta passion.
C'est du grand, Patrick, c'est du grand!"

Vincent lu par Bernard

"Hommage à un homme, un journaliste, un fils, un père, un mari, un frère, un oncle; au Pat.
“Patrick n`est plus”. Ces lignes, écrites noir sur blanc sur un écran informatique pour m`informer que ta voix ne résonnera plus dans nos oreilles, que ta silhouette ne se déplacera plus sous nos yeux, que ta main ne serrera plus nos mains. Physiquement parlant, nous ne pourrons plus te sentir. Lire la suite...

Laurence et Nathalie pour la prière universelle écrite par Elisabeth

Babou pour le psaume

Doudon pour le texte de Martin Gray "Ils sont toujours vivants".

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Famille au cimetière

"Il fait beau Lopie !
Le Pat, Pat à Fiole, Lop eu Lop, Le Grand'b, A la ptti'b à la grand'b, et j'en passe....Tant de surnoms, tant de chansons, tant d'expressions...Tu as inventé un véritable langage codé au sein de la famille FIOLE.
Langage qui a « cimenté » notre famille tout au long de notre vie. Oui, une famille nombreuse et unie devient un « clan » aux yeux des étrangers. Mais quand les étrangers rentrent dans notre famille, à leur tour ils font partie du clan et se mettent à utiliser notre langage. J'utiliserai tes expressions que seuls les initiés comprendront, je m'en excuse pour ceux qui sont un peu plus éloigné des Fiole.
Le fameux R'saire que tu as dit en premier à Papa et qu'on utilise à chaque occasion ! Ah ! Ton anniversaire si on ne savait pas que c'était le 26 décembre c'est qu'on avait de réels problèmes de mémoire !
Ces R'saire qui au fil du temps sont devenus des R'ci, des R'années.
Nous avions NOTRE chanson rien que pour nous deux que tu as inventée lorsque j'avais 11 ans, toi 11 de plus, nous chantions le matin dans la salle de bain « Grand'mon a un derrion comme Patron comme Verron », chanson qui ne nous a jamais quittés, la preuve nous l'avons encore chantée en février....alors que ta voix était si faible.". Lire la suite...

"Patrick, mon frère,

si j'ai souffert dans ma jeunesse de tes remarques acerbes, comme de celles du Père, en vieillissant, nous nous sommes, au fil des années, de plus en plus appréciés.

Notre jeunesse, c'est toi, le DLIR avec Mike et moi, le NOIRC avec Murielle.

Au fur et à mesure du temps, nous appelions presque tous les jours et nous discutions de tous les sujets et notamment politique.

Je t'appelais « Fiole à Pat » et « Pat à fiole », signe de notre amitié.

Je te dis seulement au revoir et nous ne t'oublierons jamais.

Ton frère Jacques qui t'aime."

"Mon cher Patrick,

J’aurais aimé t’écrire en vers,

à toi qui nous quittes déjà,

mais voilà, les mots ne venant pas,

ce sera en vers libres que je m’adresse à toi.

Ce sera en vers libres, et très libres d’ailleurs,

de cette liberté … qui fut toujours la tienne,

cette liberté de ton qui marque ta famille." Lire la suite...

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Les amis à l'église Saint Eugène à Paris

"Ma si belle et forte amitié avec Pat aura débuté par une fâcherie, forcément, en raison d'un papier que j'avais  rendu en retard alors qu'il dirigeait le "Cahier Samedi" du Nouvel Economiste. Les brouilles avec Patrick, c'était du grand classique. Car comme il me disait parfois, "c'est vrai que nous sommes tous les deux un peu caractériels". Sans doute, mais aujourd'hui, c'est toi Pat, qui as raccroché le premier, et définitivement.
C'est toi qui nous laisses seuls et désemparés désormais sans le réconfort de tes en enthousiasmes et de tes indignations." Lire la suite...

"INDEFECTIBLE, VIEUX !
Patrick, j'imagine ton sourire à m'entendre parler de toi, et puis tu commenterais en disant seulement, vieux, et en faisant un de tes gestes fétiches ou de ces mimiques faussement sérieuses où tu excellais de laconisme et de pudeur. Je crois que ce mot, vieux, je ne pourrais plus jamais le dire, ou l'entendre, comme nombre d'entre nous, sans penser à toi.
J'ai l'impression que tu es là, et je voudrais que tu sois là, pour te foutre de ma gueule de vouloir ainsi parler de ce que tu représentes pour moi, j'ai tellement le sentiment que les mots dans ces moments là sont si peu, et que c'est ta voix, ta présence que je voudrais pouvoir faire surgir, et que tu sois là parmi nous, et pour moi, tu y es à jamais. Dans une proximité qui tient de l'évidence depuis que l'on s'est rencontré il y a quoi, trente ans ou plus...". Lire la suite...

"Témoignage sur mon ami
J’ évitai les surnoms, donc pour moi c’ était Patrick.
Mon cousin, mais il y en a que je vois presque pas ; donc je préfère dire mon ami .
Cela fait presque 50 ans que je le connaissais : les week-end dans cet immense appartement de la
place Bellecour, puis à la Sapinière, des vacances à Sauzet, St Bonnet, des voyages en Europe, parfois
avec ses frères et soeurs, ou à 2.
Quand nous étions tous les deux, nous nous disputions parfois, mais cela n’ a pas rompu notre
amitié.". Lire la suite...

 

 

 

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